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  • Coucou tout le monde, bienvenue sur mon blog dédié exclusivement au Cinéma ! Je suis un Croqueur de Films et j'espère que vous allez aimer ce que vous verrez ! Mettez vous en place, la séance va commencer !!! ;)
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21 novembre 2015

Daech : Films Documentaires pour mieux comprendre...

DAECH : Six Documentaires pour comprendre ...

Après l’effroi, les larmes et les discours martiaux, vient le temps des interrogations et le besoin de comprendre. D’où vient Daech ? Comment cette organisation s’est-elle structurée ? Comment se finance-t-elle ? Comment recrute-t-elle des combattants à Paris ou Bruxelles ? Comment vivent les populations tombées sous sa coupe ? Qui sont ceux qui leur résistent à Raqqa ou Alep ? Depuis deux ans, plusieurs réalisateurs ont tenté de répondre à ces questions au cours d’enquêtes tournées dans des conditions souvent périlleuses. Nous en avons sélectionné six. Six films dont certaines séquences sont éprouvantes mais qui chacun peuvent nous aider à mieux comprendre cette histoire tragique qui, de Damas à Paris, s’écrit depuis cinq ans sous nos yeux. Que leurs réalisateurs et leurs producteurs soient ici remerciés.

1/ “Engrenages, les jeunes face à l'islam radical”

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Réalisateur : Clarisse Feletin

Résumé :

Nora, Rachel, Samy et Lorie ont 15, 16 et 17 ans. Certains rêvent d'un voyage sans retour pour la Syrie, dans le but d'y faire de l'humanitaire, de devenir la femme d'un jihadiste ou de combattre. D'autres, comme Samy, en sont revenus et témoignent de leur expérience. Quels mécanismes d'emprise sont à l'oeuvre lorsque ces adolescents basculent dans la haine ? Recrutés sur les réseaux sociaux par les terroristes de Daech et du front Al-Nusra, ils sont prêts à rejoindre un pays et une religion dont ils ne savent rien. Le Centre de Protection contre les Dérives liées à l'islam, rempart au sectarisme créé par Dounia Bouzar, aide les familles à soustraire leurs enfants à l'emprise des jihadistes. 

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Analyse :

Son documentaire, terminé peu de temps avant la tuerie de “Charlie Hebdo”, résonne à nouveau terriblement avec l'attaque meurtrière du 13 novembre. La réalisatrice a suivi des mois durant ces jeunes que l'Islam radical cherche à d'enrôler. Un documentaire à voir ou revoir jusqu'au 22 novembre sur telerama.fr.

Partir en Syrie, pour « accomplir la mission qu'Allah leur a donnée ». Chaque jour en France, des mineurs se laissent instrumentaliser par le discours radical d'islamistes fanatiques. Clarisse Féletin a rencontré cinq jeunes issus de familles juive, musulmane, chrétienne ou athée, qui ont tous été endoctrinés via Internet. Samy, 15 ans, est parti en Syrie : il est à ce jour l'un des rares mineurs qui a pu, non sans difficulté, fuir ses geôliers. Nora, 15 ans, qui rêvait d'« aider les plus pauvres », s'est retrouvée séquestrée à Alep, aux mains des terroristes. Un père, athée, a découvert l'endoctrinement de sa fille Kathie par son compte Facebook.

Remarquable, cette enquête décrypte les étapes de la radicalisation, toujours vécue dans le plus grand secret : il faut entendre les chuchotements de Rachel téléphonant à son « gourou-fiancé » pour ressentir la puissance d'un lavage de cerveau digne des pires techniques sectaires. Par-delà les images de propagande et les théories complotistes, le film s'interroge sur le dispositif de prévention en France. Débordée par le nombre de familles appelant à l'aide, l'équipe de Dounia Bouzar au CPDSI (Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l'islam) mène un travail unique. Tout comme le collectif d'associations Ne touchez pas à nos jeunes !, à Strasbourg. Un documentaire essentiel sur ce sujet. 

2/ “Djihad 2.0” 

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Réalisateur : Olivier Toscer
Résumé :
La France est le premier pourvoyeur européen de djihadistes en Syrie et en Irak. Selon les pointages effectués par les services de renseignement, près de 1 500 jeunes Français sont impliqués d'une façon ou d'une autre dans les filières de cette nouvelle «guerre sainte». Tous ou presque se sont radicalisés via Internet. Les terroristes de l'organisation Etat islamique (ou Daesh) y martèlent leurs messages de haine, qui sont d'autant plus efficaces qu'ils utilisent les codes des séries télé ou des jeux vidéo, si familiers de la jeunesse occidentale.

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Analyse et Interview du réalisateur :
Derrière les kamikazes de Daech sévit un bataillon de communicants. Des jeunes connectés qui élaborent des vidéos codifiées et maîtrisent parfaitement l'art de la cyberpropagande. L'endoctrinement a lieu sur Internet bien plus que dans les mosquées où beaucoup d'imams sont désavoués. Ce documentaire réalisé par Olivier Toscer analyse avec précision ce phénomène d‘”embrigadement par l'image”. “Djihad 2.0” avait été diffusé par LCP le 19 avril. La chaîne le rediffuse régulièrement depuis vendredi dernier. 

Votre film montre que les imams sont dépassés, sinon méprisés par les jeunes Français qui se radicalisent. Dans ce contexte, que pensez-vous de la volonté affichée de Manuel Valls d'expulser certains imams du territoire ?

Pour moi, c'est de la gesticulation politique. On se trompe de combat. Cela fait des années que les djihadistes ne fréquentent plus les mosquées. Le grand ménage a déjà été fait en 2012 après les tueries de Mohammed Merah et les foyers salafistes ont été fermés. Aujourd'hui, les jeunes intégristes n'écoutent plus le discours officiel de l'islam de France. Ils considèrent que les imams sont des traîtres, vendus au gouvernement, aux Juifs. Ces jeunes sont recrutés par des gourous autoproclamés qui les détournent au contraire de la mosquée. Les groupuscules se réunissent aujourd'hui dans la rue ou dans des appartements, d'où la difficulté de les localiser.

Selon vous, l'endoctrinement opère sur Internet. Par des vidéos et des clips redoutablement efficaces. Que pensez-vous de la riposte numérique du gouvernement après les attentats de janvier, avec ses films de contre-propagande ?

C'est mieux que rien, ces vidéos peuvent éventuellement avoir un effet sur certains jeunes au premier stade de la radicalisation. Après, c'est trop tard : toute parole du gouvernement, comme celle des médias, des parents, des imams, est considérée comme mensongère. Ces voix ne sont plus audibles. Il est impératif d'en faire entendre une autre : celle des djihadistes repentis, ceux qui reviennent déçus ou traumatisés de Syrie. Ce sont les seuls à être pris au sérieux par les jeunes Français tentés par le djihad, les seuls capables d'en dissuader quelques-uns de partir. L'anthropologue Dounia Bouzar fait déjà témoigner certains anciens djihadistes, au cas par cas, par mesure de prévention. Les Britanniques ont commencé à diffuser plus largement des vidéos d'ex-combattants islamistes en Afghanistan. Il faut savoir et faire savoir ce qui se passe une fois sur place : les Syriens ou les Irakiens considèrent les jeunes recrues européennes comme de la chair à canon, c'est tout. Les djihadistes français qu'on voit dans mon documentaire sont tous morts depuis le tournage.

Les réseaux sociaux sont-ils aussi des biais de recrutement ?

Il y a deux ans, Facebook et Twitter étaient envahis par l'Etat islamique : le groupe avait des « community managers » et une stratégie de cyberpropagande parfaitement rodée. Mais depuis l'été 2014, le gouvernement a commencé à faire supprimer des comptes. Les messages circulent désormais par d'autres biais, grâce à différents logiciels contournant la censure. Au fond, ça ne change pas grand-chose : les vidéos de propagande qu'on trouvait en un clic s'obtiennent maintenant en trois clics. Elles sont un peu moins visibles pour le grand-public mais restent très faciles d'accès pour les initiés. Les djihadistes y témoignent à visage découvert, preuve qu'aucun retour n'est possible. Si beaucoup de jeunes partent en Syrie pour faire les cons, conduire des grosses voitures et manipuler des fusils, ils subissent là-bas un véritable lavage de cerveau. En quelques semaines, ces gamins désœuvrés sont transformés en futurs kamikazes.

3/ “Syrie : les escadrons du djihad” 

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Réalisateur : Farouk Atig

Résumé :

Premier document choc diffusé cet été par le site Spicee : une virée à haut risque à Alep aux côtés des rebelles djihadistes qui luttent contre l'armée de Bachar El-Assad. Les balles sifflent autour de la caméra tandis qu’on aperçoit des barils d’explosifs largués par hélico au-dessus de la ville dévastée. Les reporters Farouk Atig (lire interview) et Yacine Benrabia filment aussi les temps morts où les djihadistes jouent au ballon ou dissertent entre deux assauts. Spectaculaire. 

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Analyse et Interview du réalisateur :

Entretien avec Farouk Atig, réalisateur de Syrie : les escadrons du djihad :

Il avait prévu de « souffler un peu ». A 38 ans, le grand reporter Farouk Atig venait de rentrer chez lui, à Paris, dans le XIe arrondissement, d'un tournage de trois mois au Liban, en Irak et en Syrie pour la chaîne National Geographic. Le djihadisme ne lui a pas laissé beaucoup de répit : l'une de ses amies a été tuée lors des attentats du 13 novembre. Spécialiste des mouvances islamistes depuis une quinzaine d'années, auteur de nombreux reportages sur le sujet pour Radio Canada, la BBC, Arte ou Al Jazeera, Farouk Atig a réalisé cet été avec le journaliste Yacine Benrabia un film très impressionnant – Syrie, les escadrons du Djihad – sur un groupuscule djihadiste ferraillant contre l'armée de Bachar El-Assad en Syrie. Neuf jours sous le feu des balles, à suivre cette brigade de fous furieux menant leur guerre sainte à Alep et réclamant, comme Daech, l'instauration d'un nouveau califat. Produit par le site Spicee, ce reportage spectaculaire, vendu depuis à une dizaine de pays, cerne au plus près la radicalisation qui sévit au Moyen-Orient.

Pour votre film, vous avez passé plus d'une semaine début juillet avec certains anciens membres de Daech. Etes-vous surpris par l'action et le mode opératoire des terroristes à Paris ?

Ces attentats correspondent hélas à ce qu'on pouvait redouter, étant donné l'expansion de l'Etat islamique, devenu en quelques mois une gigantesque entreprise internationale. Sa capacité à s'organiser et à planifier des attaques est désormais comparable à celle d'Al-Qaida. Ce n'était pas sa vocation au départ, mais l'organisation s'est consolidée ; elle avait prévenu qu'elle enverrait des soldats parmi les réfugiés pour se venger de l'intervention française en Syrie. Si je ne pensais pas que ces attaques seraient d'une telle ampleur, je me doutais que les frappes russes allaient accentuer la menace, peut-être même précipiter ce type d'attentat.

Les djihadistes de votre film veulent rétablir la charia et se félicitent des attentats contre Charlie Hebdo ou l'Hyper Cacher. Comment êtes-vous rentrés en contact avec eux?

Yacine et moi les avions déjà filmés auparavant, au tout début du conflit syrien. Entre-temps, certains d'entre eux avaient pris du galon, notamment Abu Muhammad al-Halabi, ancien leader du Front al-Nosra [groupe armé salafiste affilié à Al Qaida – ndlr], désormais à la tête des 1500 combattants du groupe Ansar-al Aquida. Nous avons repris contact avec eux, ils ont regardé les reportages que nous avions déjà réalisés au Yémen, en Irak ou au Liban — puis ont accepté qu'on les suive en nous laissant une assez grande liberté, sans contrôler nos images. Ils nous ont autorisés à filmer leur atelier de fabrication de bombes, leurs épouses qui s'initiaient au maniement des armes, jusqu'à l'explosion de l'un des leurs, muni d'une ceinture d'explosifs. C'est violent, mais on les voit aussi jouer comme des enfants avec des drones rapportés d'Europe, ou au football entre deux assauts. On a enfin rencontré cet étrange prêtre franciscain qui se disait favorable à la charia, sans savoir s'il était sincère ou simplement terrifié. La peur est partout en Syrie. C'est le pays de la conspiration. Les forces en présence évoluent en permanence : un rebelle peut passer d'un groupuscule à l'autre, faire partie de Daech le lundi et d'al-Nosra ou d'une milice chiite le jeudi, au gré des opportunités. Il est très difficile d'y voir clair.

 La situation a-t-elle évolué depuis votre tournage ?

Certains djihadistes qu'on voit dans le film ont été tués depuis dans des raids aériens. L'Etat islamique a repris du terrain à Alep et sa popularité ne cesse de grimper dans la région. L'armée syrienne libre ne contrôle plus rien. C'est une tragédie : plus de quinze mille enfants sont morts depuis le début de conflit. Leur sort est ce qui m'a le plus marqué au cours du tournage ; voilà pourquoi notre film se conclut sur l'image d'un jeune garçon réduit à fouiller les poubelles pour survivre au milieu des rues dévastées. Il faut impérativement que ce pays soit libéré, mais les frappes aériennes sont à la fois insuffisantes et trop dangereuses pour les civils. La coalition internationale ne pourra pas reprendre Raqqa ou Mossoul sans envoyer des troupes au sol. Est-ce que cela sera suffisant ? On peut aussi craindre que l'Etat islamique se recompose ailleurs, dans une autre région, sous une autre forme. La guerre est loin d'être finie.

4/ “La Rebelle de Raqqa”

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Réalisateur : Claire Billet et Lyana Saleh

Résumé :

Le quotidien à Raqqa sous le joug de l'Etat Islamique, et l'amertume de l'exil à Paris. Voilà ce que raconte le reportage “Rebelle de Raqqa”, porté par l'histoire d'Haya El-Ali. Avant de se réfugier à Paris en septembre 2014, cette jeune Syrienne a eu le courage de documenter la vie dans dans sa ville natale conquise par daech à l'aide d'une mini-caméra cachée dans son sac à main.  

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Analyse :

Elle fume très souvent devant la caméra. Rezane, âgée de 26 ans, a presque toujours une cigarette roulée entre ses doigts. Pour se calmer, sans doute, s'apaiser. Cette jeune Syrienne à la crinière brune et aux grands yeux noirs maquillés, originaire de Raqqa, la "capitale" des jihadistes, est devenue l'étendard de tout un peuple qui refuse le joug de l'organisation de l'Etat islamique.

Mais à quel prix ? Pour dénoncer l'insupportable quotidien à Raqqa, Rezane, au péril de sa vie, a décidé en 2014 de filmer les rues de sa ville natale, en caméra cachée. La vidéo, qui y dévoilait entre autres des femmes intégralement voilées et armées promenant leurs enfants au parc, avait marqué les esprits.

Peu après la diffusion de cette vidéo, la jeune femme a été identifiée, "à cause de son langage corporel", croit-elle savoir. "J'utilise beaucoup mes mains quand je parle." Les jihadistes la menacent, elle et sa famille. Ils lui envoient des photos de cadavres décapités. Rezane n'a pas le choix, elle fuit, laisse tout derrière elle, son histoire et sa "mémoire". Elle se réfugie à Paris, dont elle ne maîtrise ni la langue, ni les codes.

Deux journalistes, Lyana Saleh et Claire Billet, ont suivi pendant plusieurs mois cette jeune héroïne, qui a dû rendre son passeport syrien pour obtenir l'asile politique en France. "C'était ma dernière pièce d'identité", confie-t-elle, désemparée, assise devant un agent de l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et des apatrides). "Maintenant, je suis sans rien, sans maison, sans chez moi, sans papier."

"Ils ont violé notre mémoire"

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Rezane tente de s'intégrer malgré tout. Devant les journalistes rencontrés lors des soirées parisiennes, elle dénonce inlassablement la situation politique en Syrie, est intarrissable sur les échecs de l'opposition syrienne, sur l'abandon de Raqqa. Elle sort aussi. Se balade dans les rues de la capitale, "mais il est difficile de profiter de Paris quand on est seul", dit-elle.

Elle retrouve pourtant un ami de Raqqa, Mohamed, qui a fui lui aussi les persécutions de l'EI. Ensemble, ils tentent de faire un deuil impossible. Rezane ne supporte pas d'être loin de chez elle. "Ils nous ont violés, ils ont violé notre mémoire. Ils m'ont privée de tout", lâche-t-elle. "Je n'ai même pas pris la photo de mon père. Je croyais que j'allais revenir", ajoute-t-elle.

"Ici, tu as la possibilité de tout oublier", tente de la rassurer Mohamed, qui a été torturé par les jihadistes. "Oublier quoi ?", lui répond-t-elle instantanément. "Tu non plus, tu ne pourras pas oublier."

Rezane n'a jamais défait sa valise. "Je suis prête à rentrer n'importe quand", assure-t-elle, le regard perdu sur cette ville qui n'est pas la sienne. Ses proches se trouvent aujourd'hui en Turquie. Elle espère pouvoir les retrouver prochainement. En attendant, elle prend des cours pour apprendre la langue de son pays d'accueil. Ses premiers mots en français ne sont pas choisis par hasard. "Je suis Haya [son vrai prénom]", dit-elle devant la caméra. "Je suis syrienne", peut-on lire dans son cahier de français.

5/ “Encerclé par l'Etat islamique”

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Réalisateur :Xavier Muntz

Résumé et Analyse :

Trois semaines avec les combattants kurdes de Sinjar, en première ligne  contre les djihadistes de l'État islamique. Un document exceptionnel.

Irak, décembre 2014. Les forces de l'État islamique ont totalement  encerclé les montagnes du Sinjar, à l'ouest de Mossoul. Une population  de Kurdes yézidis, musulmans et chrétien se retrouve prisonnière dans  les villages. L'étau se referme sur les maigres forces qui résistent.  Unique moyen d'atteindre la zone : un hélicoptère qui survole le  territoire de l'État islamique pour apporter des vivres. Début décembre,  le réalisateur Xavier Muntz monte dans l'hélicoptère. Il va passer  vingt jours avec les combattants kurdes en première ligne, dans un  quartier de Sinjar. Il découvre des hommes sous-équipés, mal armés,  presque abandonnés à leur sort : en dix-sept jours, il n'y aura que deux  frappes américaines, ce qui contredit le discours des forces de la  coalition…

Xavier Muntz a pu filmer les opérations les plus audacieuses menées  par les Kurdes contre les positions islamistes. Le réalisateur a  accompagné les snipers, suivi des groupes de combattants qui avancaient  rue par rue, maison par maison. Il a aussi pu filmer les nuits d'attente  et les débats entre les combattants yézidis (des zoroastriens, qui  pratiquent l'une des plus anciennes religions monothéistes) et les  musulmans, des échanges témoignant d'une grande tolérance. Xavier Muntz a  assisté à une réunion féministe en plein milieu de l'offensive  où une  combattante gradée chapitre ses hommes sur la nécessaire égalité  homme-femme , et a passé deux jours avec un volontaire américain venu  se battre aux côtés des Kurdes. Cet ancien marine républicain a  découvert avec surprise qu'il avait rejoint une guérilla marxiste ! Cela  ne l'a pas empêché de rester. Après deux semaines de lutte acharnée et  grâce aux renforts venus des Kurdes de Syrie, les combattants kurdes ont  enfin réussi à faire reculer les forces de Daech, lesquelles  enregistrent leur première grande défaite. La ville de Mossoul, place  forte de l'État islamique, devient leur prochain objectif…

6/ "Daech, naissance d'un Etat islamique"

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Réalisateur : Jérôme Fritel

Résumé et Analyse :

Après un mois d'investigations en Irak, cette enquête révèle, pour la première fois, le visage complet et effroyable de Daech : une organisation djihadiste aussi riche qu'un État africain, devenue une multinationale de la terreur.

L’État Islamique en Irak et au Levant, Daech en arabe, contrôle aujourd’hui un territoire grand comme la moitié de la France, à cheval sur deux pays, la Syrie et l’Irak. Sa fortune est comparable à celle d’un pays africain. L’organisation est devenue une sorte d’État hors la loi qui attire militants et combattants du monde entier. Inconnue il y a un an, cette start-up du terrorisme, née en Irak sous l’occupation américaine, est devenue une multinationale de la terreur. Comment est apparue Daech et quel est son modèle économique ? Peut-elle encore étendre son territoire ? Comment lutter contre une structure qui ne dépend plus de financements extérieurs ? Les journalistes Jérôme Fritel (Goldman Sachs – La banque qui dirige le monde) et Stéphan Villeneuve sont partis un mois en Irak, en novembre 2014, pour enquêter sur cette organisation terroriste qui bouleverse tous les enjeux géopolitiques de la région. Cette investigation, tournée comme un "road movie", nous emmène aux différentes frontières, côtés irakien, kurde et turc.
À l'image des cartels du crime À 60 km au sud de Bagdad, dans une région nommée Jurf al-Sakhr, reprise à Daech après de féroces combats à l’automne dernier, se dévoilent des paysages défigurés par la guerre : palmiers déchirés par les obus, carcasses de chars, populations en fuite. Une guerre de religion se déroule ici, qui oppose les sunnites, regroupés autour de Daech, aux chiites au pouvoir à Bagdad et aux kurdes, et s’accompagne d’un nettoyage ethnique à grande échelle. À travers les témoignages de ceux qui l’ont vécue, le film retrace aussi la prise de Mossoul. Comment la deuxième ville d’Irak a-t-elle pu tomber aussi vite ? "Casse du siècle", cette conquête a fait tomber dans l'escarcelle de Daech près de 500 millions d’euros de cash qui dormaient dans les banques. Les djihadistes se sont également emparés des puits de pétrole, ainsi que des réserves de gaz naturel, de phosphate, de blé et d’orge situées dans le grand ouest irakien. En prenant Mossoul, l’organisation est devenue milliardaire et s’offre une assise administrative quasi étatique. Le film donne la parole à ceux qui, de gré ou de force, travaillent sous la domination de cette organisation et décrit le fonctionnement de cet État autoproclamé. Les responsables actuels et passés du gouvernement irakien expliquent comment Daech dépouille l’Irak d’une partie de ses recettes. Par l’intermédiaire des établissements situés sur son territoire, l’organisation accède également aux réseaux bancaires internationaux. Cette enquête montre que derrière ses succès militaires et sa puissance de feu, Daech affiche le visage d’une vaste entreprise commerciale, fonctionnant un peu à l’image des cartels du crime. Enfin, plusieurs experts – Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères, Romain Caillet, chercheur au Centre français du Proche-Orient de Beyrouth, spécialiste reconnu des mouvements islamistes, et Jean-Charles Brisard, enquêteur économique auteur d’un rapport complet sur l’argent de Daech – analysent les conséquences géopolitiques de l’apparition de ce nouvel État terroriste.      

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Pour conclure cette article, je souhaitais faire un HOMMAGE aux victimes des attentats de Paris du 13 Novembre et à toutes les victimes faites par Daech depuis toujours !

#PRAYFORPARIS

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11 novembre 2015

WAYWARD PINES : La série originale et mystérieuse de M. Night Shyamalan !

WAYWARD PINES

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Créateur : Chad Hodge

Réalisateur : M. Night Shyamalan

Acteurs principaux :

Matt Dillon dans le rôle de : Ethan Burke

Carla Gugino dans le rôle de : Kate Hewson

Toby Jones dans le rôle de : Dr. Jenkins

Shannyn Sossamon dans le rôle de : Theresa Burke

Juliette Lewis dans le rôle de : Beverly

Charlie Tahan dans le rôle de : Ben Burke

Reed Diamond dans le rôle de : Harold Balinger

Hope Davis dans le rôle de : Megan Fisher

Sarah Jeffery dans le rôle de : Amy

Synopsis :

Ethan Burke, l'un des meilleurs agents des Services Secrets du Bureau de Seattle, est envoyé en mission dans la charmante petite ville de Wayward Pines. Il doit enquêter sur la mystérieuse disparition de deux agents fédéraux : l'Agent Bill Evans et l'Agent Kate Hewson, son ancienne partenaire et surtout la femme qui a failli détruire son mariage. Alors qu'il s'approche de la ville, Ethan a un accident. A son réveil, ses souvenirs sont intacts mais il réalise qu'il n'a plus aucun moyen d'entrer en contact avec le monde extérieur. Son téléphone, son portefeuille, son argent et sa carte d'identité ont disparu et il commence à prendre conscience que la petite ville de Wayward Pines n'est pas aussi lisse et parfaite qu'il n'y paraît...

Bienvenue à Wayward Pines

Anecdotes : 

Matt Dillon enfin en vedette sur le petit écran :

S'il décroche pour la première fois le rôle principal dans une série, Matt Dillon n'a pas attendu Wayward Pines pour faire de courtes apparitions dans des séries télé. Au tout début de sa carrière, en 1982, l’acteur a effectivement joué dans un programme inédite en France, American Playhouse. Mais les téléspectateurs français ont également pu l'apercevoir dans Modern Family (il joue dans un épisode de la saison 2). Précisons enfin qu'il a prêté sa voix à un personnage de la série Les Simpson, dans l’épisode "Midnight Towboy" (saison 19).

Arrivée à Wayward Pines

De Pines à Wayward Pines :

La série diffusée sur l FOX s'inspire d'un roman, "Pines", écrit par Blake Crouch. Un roman qui a donné ensuite lieu à une trilogie, elle-même baptisée Wayward Pines. L'adaptation de cette série de livres est, en quelque sorte, une boucle qui se referme. Diplômé de l'université de Caroline du Nord, Crouch a confié que l'histoire et l'univers de Wayward Pines sont sensiblement inspirés d'une autre série télévisée : Twin Peaks, de David Lynch.

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La Colombie Britannique pour décor :

Le tournage de Wayward Pines se déroule au Canada. L'ensemble des dix épisodes de la saison 1 a effectivement été tourné dans la région de Vancouver. Le tournage a débuté à l'été 2013 entre les villes de Burnaby (pour les tournages en studio) et Agassiz (pour les scènes en extérieur). Il a fallu près de six mois pour filmer l'intégralité des épisodes, puisque les équipes ont éteint leurs caméras en février 2014… plus d'un an avant la diffusion du pilote.

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Ces villes imaginaires de séries tv où il ne fait pas bon vivre 

Quel est le point commun entre Twin Peaks, Chester’s Mill et Wayward Pines ? Ces villes sont certes issues de l’imagination des scénaristes de série tv, mais on ne voudrait en aucun cas y mettre les pieds !

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Wayward Pines dans l’Idaho. Le paradis sur Terre selon ses habitants. Et pourtant, ce qui semble être une ville plutôt sympathique se révèle être un vrai cauchemar. Alors qu’il est à la recherche de deux agents disparus, Ethan Burke (Matt Dillon) est victime d’un accident de voiture. Il se réveille à l’hôpital de Wayward Pines et comprend rapidement que quelque chose ne va pas. Plus grave encore, il n’arrive ni à contacter l’extérieur ni à quitter la ville…

Pourquoi on n’aimerait pas y vivre : Nombreux sont ceux à s’être fait piéger dans la ville de Wayward Pines, créée de toute pièce par le réalisateur reconnu M. Night Shyamalan. Etre enfermé et observé façon Big Brother dans une ville ? Très peu pour nous. Wayward Pines est un endroit mystérieux où la perception du temps est biaisée. Vous pensiez être là depuis 1 an ? Cela fait en réalité 14 ans.

Le lieu à éviter à tout prix : l’hôpital de Wayward Pines

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 Pas encore de saison 2, mais...

Toutefois, rassurez votre compte en banque, vous n'êtes pas encore obligés de vous ruiner en budget mouchoirs face à une telle nouvelle. En effet, comme l'a confié M. Night Shyamalan (le créateur) à nos confrères d'Allociné, si rien n'est encore décidé, il se veut "optimiste" : "Je ne peux pas le garantir. Je suis en train de chercher une histoire, la direction que je veux lui faire prendre et où j'aimerais que ça se termine."

M. Night Shyamalan prêt à bousculer les codes de la télé

Malheureusement, s'il veut croire en une saison 2 et se montre motivé à son sujet, sa méthode avancée pour lui donner vie pourrait refroidir la FOX, puisqu'il est prêt à prendre beaucoup de temps et à imposer ses envies, ce qui est un concept presque étranger dans le monde des networks aux USA : "En tout cas je ne veux pas m'y coller tant que je ne connais pas la fin. Tout doit être pensé à l'avance. Je sais que la télé ne fonctionne pas comme ça. D'habitude, on commence une saison dès que la précédente a eu du succès. Mais je ne veux pas procéder ainsi. Je n'aime pas voir à la télé des épisodes où on se répète, où on ne prend aucune décision et où on piétine faute de savoir où on va. Je ne veux pas de ça pour ma série. Je veux savoir précisément quel sera notre axe, si on le fait en dix épisodes ou en vingt et de combien de temps on dispose. Ça se fera comme ça et pas autrement."

Wayward Pines aura-t-elle une saison 2 ? Et si c'était ça, le plus grand mystère de la série ?

Carla Gugino dans le rôle de : Kate Hewson

Ma Critique :

Une série vraiment excellente avec un surprenant mélange de thriller, de fantastique, de science-fiction et de policier ! Chaque épisode nous plonge un peu plus profondément dans le suspense et dans l'histoire. Matt Dillon est vraiment très bon dans son rôle de personnage principal, et dès le premier épisode on s'attache à lui, la série démarre très bien, on nous place directement dans l'ambiance, l' histoire est originale et captivante avec beaucoup de rebondissements, on ne s'ennuie à aucun moment. Mr Night Shyamalan réalise là une mystérieuse série entrenant le spectateur dans un univers angoissant et froid, ressemblant à Twin Peaks de David Lynch, ajoutez une portion du film The Truman Show, une pincée du Assault de Carpenter, puis un cuillère de The Descent pour enfin obtenir la recette diaboliquement efficace de Wayward Pines.

Le final a fait beaucoup débat, beaucoup ont été déçus, mais moi je l'ai au contraire trouvé intéressante et ça change des fins que l'on peut voir et attendre généralement dans les séries ( ...mais vous n'en serez pas plus, je vous propose d'aller la voir par vous même, vous ne serez pas déçus ! ).

Dans l'attente d'une saison 2..., pour l'instant on doit se contenter de ces dix premiers épisodes mais on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve.

Ma Note : ,5/5

Bon Appétit ^^

Bande-annonce de la série "Wayward Pines"

Tous à vos commentaires !!!

 

 

4 novembre 2015

ASH Vs EVIL DEAD ! La série tirée du film ! Enfin !!!

ASH Vs EVIL DEAD

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Réalisateur : Sam Raimi

Acteurs principaux :

Bruce Campbell dans le rôle de : Ashley "Ash" Williams

Lucy Lawless dans le rôle de : Ruby

Ray Santiago dans le rôle de : Pablo Simon Bolivar

Dana DeLorenzo dans le rôle de : Kelly Maxwell

Jill Marie Jones dans le rôle de : Amanda Fisher

Synopsis :

Ash a passé les 30 dernières années, en évitant les terreurs de l'Evil Dead, lorsqu'un fléau mortel menace l'humanité, Ash se voit contraint d'affronter ses démons. Au sens propre comme au figuré.

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News :

Une série à la hauteur des films cultes de Sam Raimi ?

Ash vs Evil Dead, l'adaptation en série de la franchise Evil Dead de Sam Raimi, débarque sur la chaîne américaine Starz ce samedi 31 octobre 2015. Découvrez ce qu'en pense la critique US...

LES CRITIQUES PRESSE US :

Selon Uncle Barky : "Malgré les litres de sang déversé et la tonne de gore, les téléspectateurs peuvent mourir de rire sans vergogne devant Ash vs Evil Dead (...) La série est réussie quand elle se décide à être joyeusement et légèrement déjantée. La plus grosse ligne budgétaire concerne forcément le nettoyage." Note : 5 sur 5

Selon HitFix : "Ash vs Evil Dead est clairement une série faite avec amour. Avec un bon rythme, des scènes effrayantes et beaucoup d'humour. Et le moment où Ash passe du rôle de clown à celui de tueur est la renaissance parfaite du héros à laquelle on s'attend après tant de temps." Note : 4,5 sur 5

Selon Newsday : "Il y a mille façons de rater un remake et une seule de réussir. Les fans d'Evil Dead seront ravis de savoir que celui qui arrive pour Halloween est réussi, en grande majorité. Les fans extrémistes auront des réserves (c'est souvent le cas). L'humour n'est sans doute pas assez saillant, Ash est peut-être trop sûr de lui, les gags et les répliques sont un rappel trop fréquent que la comédie a pris le pas dans cette série sur l'horreur. " Note : 4,5 sur 5

Newsday : "Il y a mille façons de rater un remake (...) Celui d'"Evil Dead" est réussi."

Selon The AV Club : "Mettre en scène Ash dans notre monde moderne est à double tranchant. Apercevoir un démon sortir des bois pour se retrouver dans un parking résidentiel est formidable (...) Mais certains ajustements modernes paraissent superflus, comme cette scène d'exposition avec les parents de Kelly via un écran d'iPhone dans un split screen aurait été plus judicieux. Mais c'est de la chicanerie quand on considère que la violence cartoonesque - la raison d'être d'Evil Dead - est aussi magnifique." Note: 4 sur 5

Selon The New York Times : "Sam Raimi, qui avait atteint un statut de réalisateur culte avec la franchise Evil Dead avant de migrer vers le plus populaire Spider-Man, est de retour pour le pilote, qu'il a réalisé et écrit (avec son frère Ivan Raimi et le scénariste Tom Spezialy). C'est sans doute pour cela que cet épisode est particulièrement réjouissant; comme les films, il est brillant, prenant, vif et, c'est capital, sans prétention." Note : 4 sur 5

Selon le San Francisco Chronicle : "Si Ash vs Evil Dead ne débutait pas à Halloween, quelqu'un devrait inventer une fête juste pour la diffuser (...) Le gore et l'humour sont présents dès le début et ne s'arrêtent jamais." Note : 4 sur 5

RogerEbert.com : "La série est fidèle aux bases établies par les films de Sam Raimi."

Selon RogerEbert.com : "Même si vous ne connaissez pas Ash, si vous êtes fans de The Walking Dead, vous devriez jeter un oeil à la série. C'est intense (...) La série est fidèle aux bases établies par les films de Sam Raimi (des très gros plans, des angles de caméra extrêmes, des zooms ridicules...). Même les effets spéciaux bon marché sont conservés." Note : 3,5 sur 5

Selon Variety : "Le héros ayant déjà sacrifié une main pour la cause, personne ne sera surpris d'apprendre que la série la joue petit bras. Sur le court terme, avec sa dimension gaguesque, elle ne se prend pas trop au sérieux et s'adresse judicieusement à un public ciblé pour le câble. De ce point de vue, Ash vs Evil Dead est parfaitement alignée avec la tradition petit budget de la franchise." Note: 3,5 sur 5

Selon The Hollywood Reporter : "Le pilote de la série fonctionne bien mais sans Sam Raimi derrière la caméra, la comédie horrifique est à la peine (...) Le second épisode n'est pas seulement plat et en manque d'inspiration, il a également le malheur d'enfermer Ash vs Evil Dead dans un format 30 minutes (...) Il est tout bonnement moins réussi que le pilote et pas à la hauteur de ce qu'Evil Dead mérite." Note: 3 sur 5

Selon le Philadelphia Inquirer : "Les fans de la première heure d'Evil Dead risquent d'être déçus par la série. Notamment parce qu'elle trahit la tradition bricolée des films au profit d'une imagerie numérique. Et comme les effets ne sont pas vraiment réussis, les scènes d'action paraissent quelque peu ringardes." Note: 2,5 sur 5

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Une saison 2 déjà en cours :

A peine lancée, la série horrifique Ash vs Evil Dead vient déjà de se voir dotée d'une seconde saison par la chaîne Starz !

Il y aura une saison 2 pour Ash Vs Evil Dead ! La chaîne Starz n'a même pas attendu le lancement de sa série horrifique ce week-end pour annoncer la nouvelle, relayée par le site Variety. Dix épisodes ont été commandés pour cette seconde saison.

"Une saison, ce n'est pas assez pour satisfaire le grand appétit des fans, qui ont attendu vingt ans pour voir davantage d'aventures de Ash", déclare Carmi Zlotnik, directeur du management de la chaîne Starz. "Le soutien, dès le début, des fans et de la presse, ainsi que la demande des chaînes internationales pour en avoir plus, font qu'il a été clair que les aventures d'Ash Williams ne devaient pas s'arrêter avec la première saison."

Bruce Campbell, incarnation légendaire du personnage de Ash dans les trois longs métrages de Sam Raimi (qui officie aux commandes de la série), sera donc de retour avec sa tronçonneuse pour une nouvelle saison sur petit écran.

Bruce Campbell dans le rôle de : Ash dans Evil Dead 3

Anecdotes : 

Tournage en Nouvelle-Zélande :

Comme la saga cinématographique, Ash vs. Evil Dead est tournée en Nouvelle-Zélande. Les dix épisodes de la saison 1 ont été filmés pendant le printemps 2015, quelques mois après que Sam Raimi ait annoncé, lors du Ohio Comic Con 2014, qu'il travaillait sur ce projet. Raimi et Robert Tapert, les deux producteurs de la série, ont l'habitude de travailler dans ce pays. Néo-Zélandais tous les deux, c'est là-bas qu'ils ont produit Hercule, Xena, la guerrière et Jack, le vengeur masqué,trois séries dans lesquelles apparaissent Bruce Campbell.

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Un challenge physique ! : 

S'il bénéficie encore et toujours d'une très jolie cote d'amour auprès du public, Bruce Campbell a dû suivre une véritable préparation physique pour reprendre le rôle d'Ash Williams. Il a notamment sacrifié à de multiples séances de poids et haltères pour porter la "fameuse" tronçonneuse qui l'accompagne. Le comédien a également dû suivre des activités de stretching. 

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Un son de tronçonneuse réaliste ? :

Partie intégrante du personnage d'Ash, la tronçonneuse qui se trouve au bout de son bras droit est encore et toujours présente dans la série. Si la technologie a considérablement évolué depuis le tournage du premier volet cinématographique, pas question pour autant de prendre un son digital pour "illustrer" l'engin en marche. "C'est important pour nous (de ne pas utiliser cette technologie)", explique Bruce Campbell. "Il nous faut quelque chose qui soit le plus réaliste possible."

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Un format voulu par Sam Raimi :

L'idée de produire des épisodes d'une durée de 30 minutes est née dans l’esprit de Sam Raimi. Un choix qui a assez facilement convaincu la chaîne Starz, qui diffuse le programme. "J'ai trouvé ça vraiment chouette", avoue Raimi. "C'est ce qui doit nous permettre d'aller vite, de ne pas nous perdre dans de l'exposition et d’être plus provocateur."

Bruce Campbell et Ash : les retrouvailles :

Avec la série de Starz, Bruce Campbell retrouve le rôle le plus important de sa carrière. C'est en effet en prêtant ses traits à Ashley "Ash" J. Williams, héros d'Evil Dead, que le comédien est entré dans le panthéon des acteurs de film de genre. Après avoir repris le rôle dans les deux volets suivants, il fait une apparition clin d’œil dans la scène post-générique du remake de 2013. C'est cependant la première fois qu'il l'incarne pour le petit écran.

Page du Necronomicon

Page du Necronomicon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Voici en exclu la bande-annonce de la  série en VOSTFR et les quatre premières minutes du premier épisode !

Ash vs Evil Dead : Bande annonce Comic-Con (VOSTFR)

 

Ash vs Evil Dead : 4 premières minutes VOSTFR de la série

 Prêts pour de nouvelles frayeurs ???

Petit retour sur l'article sur les différents films de la saga EVIL DEAD : 

La Saga EVIL DEAD -

Cinq jeunes vacanciers s'installent dans une baraque au cœur d'une sinistre forêt. En descendant dans une cave lugubre, les deux garçons de la bande découvrent un vieux magnétophone qui, une fois remis en marche, émet une incantation magique. Laquelle réveille les forces du mal, déclenchant ainsi une horreur sans nom...

http://croccine.canalblog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

2 novembre 2015

Le film Evenement de Ridley Scott : PROMETHEUS et Le 2ème Opus bientôt dans nos Salles !!!

PROMETHEUS

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Réalisateur : Ridley Scott

Acteurs principaux :

Noomi Rapace dans le rôle de : Elizabeth Shaw

Charlize Theron dans le rôle de : Meredith Vickers

Michael Fassbender dans le rôle de : David

Idris Elba dans le rôle de : Janek

Synopsis :

En 2089, Elizabeth Shaw et son compagnon Charlie Holloway font une étrange découverte. Un pictogramme apparait sur plusieurs vestiges de civilisations disparues, qu'elles soient aztèques, mésopotamiennes ou préhistoriques. Ils comprennent très vite que ce symbole montrant un humanoïde levant sa main vers six étoiles est en réalité une carte de l'espace. Elizabeth est alors persuadée qu'il s'agit d'une invitation des créateurs de la l'humanité, théorie corroborée par les traces laissées par leurs créateurs et retrouvées en Afrique trente ans plus tôt.Grâce à la société Weyland, une expédition est organisée, une expédition de 17 personnes dirigée par Meredith Vickers et qui conduira Elizabeth Shaw jusqu'au système solaire de Zeta Reticuli, sur la planète LV-426.Le voyage dure deux ans à bord du Prometheus, et en 2091, David, un androïde, réveille l'équipage encore en hyper-sommeil. Peter Weyland, resté sur Terre, leur apparait alors sous forme d'hologramme pour leur ré-exposer leur mission. Ils doivent ramener de LV-426, un spécimen de forme inconnu. Une fois le Prometheus posé sur LV-426, l'équipage part donc en reconnaissance, seulement, il va découvrir quelque chose qui pourrait bien changer leur destin, et celui de la Terre entière ...

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Anecdotes :

Le Space Jockey à l'origine :

L'idée d'une préquelle à Alien, le huitième passager est venue il y a longtemps à Ridley Scott. Mais, au fil des années, le projet a évolué pour devenir un film différent, un peu plus distant de son modèle, avec ses propres tenants et sa propre mythologie. Le cinéaste explique que ce qui l'a motivé pour Prometheus a été son envie de revenir sur l'un des personnages les plus intrigants et les plus passionnants de l'univers d'Alien : le Space Jockey, ce géant fossilisé apparemment victime d'un "chestburster" (le stade embryonnaire de l'Alien, implanté à l'intérieur d'un être humain), fatal à  John Hurt dans le film d'origine. Ridley Scott voulait résoudre l'énigme que soulevait cette créature, qui fut éclipsée par les xénomorphes dans l'esprit du public : Qui était le Space Jockey ? D’où venait-il ? Quelle était sa mission ? Autant de questions au centre de Prometheus.

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Description du "Space Jockey" :

« Space Jockey », également appelé « Mala'kak », « Pilote » ou « Ingénieur », sont les noms donnés à l'espèce rencontrée sur LV-426, dont les Aliens avaient infesté le vaisseau. Il apparait dans le film original Alien, dans Prometheus, et dans plusieurs jeux vidéo.

Dans la version originale, le Space Jockey, émet un signal de détresseou plus précisément d’avertissement, est découvert en l'an 2122 sur la planete LV-426 par l’équipage du Nostromo alors en état de bio-stase sur le trajet de retour vers la Terre après avoir effectués leur récolte de raffinerie depuis les différentes colonies. Il est de forme humanoïde et trois à quatre fois plus grand qu'un humain dont le squelette semble avoir fossilisé sur le siège bio-mécanique d'un vaisseau spatial après qu'un élément étranger ait fait exploser sa cage thoracique et pondue une série d’œuf dans la partie inférieure du Derelict. Il est doté d'une sorte de tuyau respiratoire reliant le nez au bassin.

Dans la version du film Prometheus, le Space Jockey est découvert en l'an 2093 par l’équipage du Prometheus, d’après des recherches archéologiques terrestre sur l'un des satellite nommé LV-223 de la planète LV-426. Il est dit que les « Ingénieurs » sont à l'origine de la création de l'humanité et que les événements du film ont conduit à la création d'Aliens. De formes humanoïdes et anthropomorphe, ils possèdent une combinaison biomécanique. De nombreuses ruines de leur civilisation parsèment plusieurs mondes de la Galaxie et les humains y ont construit des installations d'études pour en comprendre les mystères. L'architecture de leurs ruines et vaisseaux est de type biomécanique avec une utilisation des fluides et du son. L'intérieur du Derelict (le vaisseau naufragé sur LV-426) semble même organique.

Le jeu Aliens versus Predator 2 implique un laboratoire expérimental construit sur les artefacts de différentes espèces et de leur technologie. À la fin de la campagne des Marines, le joueur se bat contre une reine Alien dans une grande salle avec un Space Jockey au centre.

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Tournage XXL ! :

Le tournage de Prometheus, débuté en août 2010, s'est déroulé en partie dans les studios de Pinewood en Angleterre, célèbres pour avoir accueilli les tournages de plusieurs blockbusters ultra connus (comme la saga James Bond, et plus récemment Le Hobbit de Peter Jackson). Ridley Scott et son équipe, qui désiraient des décors gigantesques pour donner cette impression de réel tactile au film, ont monopolisé les 5 500 mètres carrés des bâtiments, et ont même dû installer une extension de 25%, pour pouvoir tourner la fameuse scène de la tête monumentale.

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Des Paysages Epoustouflants ! :

Après un tournage à Pinewood qui a duré 15 semaines, l'équipe du film a déménagé pour les scènes en extérieur. Le paysage lunaire à la fois sublime et macabre de Prometheus existe bel et bien ! C'est celui de la région volcanique du mont Hekla, dans le sud de l'Islande. Toujours dans le même pays, quelques plans ont été tournés sur le site des impressionnantes chutes Dettifoss.

Dans la région volcanique du mont Hekla, dans le sud de l'Islande

 Sur le site des impressionnantes chutes Dettifoss en Islande

Le luxe sans frontières :

Pour les appartements de la sublime mais glaciale Vickers (Charlize Theron) à bord du Prometheus, les décorateurs n'y sont pas allés de main morte. Meubles design, piano Fazioli, lustres Swarovski... Une véritable réplique d'un appartement cossu new-yorkais, mais dans les confins de l'espace !

Dans les appartements de Vickers (Charlize Theron) à bord du Prometheus

Des créatures cohérentes et crédibles :

Sans reprendre totalement le design de l'artiste suisse H.R. Giger (créateur du fameux Xénomorphe de la saga Alien), Neal Scanlan et Conor O,Sullivan, les superviseurs de la création des prothèses et du maquillage de Prometheus, avouent que l'ADN esthétique du premier film est présente. Les deux créateurs ont voulu donner une cohérence et une crédibilité à leurs créatures, en partant constamment du principe que les éléments constitutifs de ces êtres doivent être logiques d'un point de vue de l'évolution biologique. Pour cela, ils se sont beaucoup inspirés des plantes, des créatures marines et d'autres animaux.

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Prométhée ? :

Le choix du nom "Prometheus" pour le vaisseau et l'expédition du film n'est pas anodin. Prométhée était un Titan de la mythologie grecque, qui vola le feu aux dieux pour le donner aux hommes. Pour cet acte, il fut puni et enchainé à un rocher pour l'éternité, condamné à se faire dévorer le foie par un aigle. Il sera finalement libéré par Héraclès et réhabilité par Zeus. Mais l'histoire de Prométhée reflète bien cette question du rapport de force entre l'humanité et les dieux, thématique récurrente dans le film de Ridley Scott.

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Androïde un jour, Androïde toujours ! :

Le nom des androïdes de la saga Alien suivent une logique alphabétique. Dans le premier film, l'androïde (incarné par Ian Holm) s'appelle Ash, dans Aliens le retour et Alien 3, il se nomme Bishop, et dans Alien, la résurrection, son nom est Call. Pour Prometheus, Ridley Scott et ses scénaristes suivent donc cette logique en appelant leur androïde David, qui est interprété par Michael Fassbender.

Michael Fassbender dans le rôle de l'Androïde David

La grande histoire de l'univers d'Alien... :

Se situant en 2085, les événements du film se déroulent 37 ans avant les événements du premier Alien. Mais si l'on prend en compte toute la chronologie de l'univers du premier film, tout commence dès l'an 2896 avant notre ère, où les humains ont leurs premiers contacts avec des créatures extraterrestres, les Predators, qui leur apprennent à construire des pyramides et à chasser le Xénomorphe, comme cela est décrit dans le spin-off Alien vs. Predator. Tout se termine (au cinéma) en 2381, avec les événements d'Alien, la résurrection. Une longue histoire de près de 5300 ans qui n'est pas prête de s'arrêter avec Prometheus, et la nouvelle trilogie qu'espère démarrer Ridley Scott !

Aliens versus Predator

Une bande son à tout pêter ! :

Lors d'une projection au Gaumont Marignan, à Paris, la bande sonore du film fut tellement assourdissante qu'elle a fait sauter les enceintes de la salle. A la fin du film, lors de la fuite de Noomi Rapace pour regagner le vaisseau, Prometheus s'est ainsi retrouvé muet, obligeant le projectionniste à repasser la scène une seconde fois... pour faire de nouveau sauter le son ! Ce n'est qu'à la troisième tentative, après avoir baissé les niveaux sonores, que la séquence put être diffusée sans problèmes techniques... De leur côté, les spectateurs étaient volontiers hilares de voir trois fois de suite la même séquence, et de connaître de fait les dialogues par cœur.

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La saga Alien à la loupe du box-office :

Le premier opus de la saga, Alien, le huitième passager (1979), fut plus qu'un succès public. Rapportant environ 200 millions de dollars dans le monde (pour 11 dépensés), il imprima sa marque sur toute une génération, et eut évidemment droit à sa suite. Réalisé par James Cameron sept ans plus tard, Aliens le retour fit presque aussi bien : 183 millions de billets verts, pour un budget de 18. Mais cette véritable poule aux œufs d'or va alors entrer dans une logique purement mercantile, et perdre petit à petit son aura. Le troisième opus, Alien 3 (1992), premier film de David Fincher, a beau avoir rapporté 160 millions de dollars dans le monde, son budget de 50 le rendit moins rentable que ses prédécesseurs. Avec le temps, cette logique des coûts de production à la hausse va s'accentuer. Alien, la résurrection (1997) confirme l'essoufflement, faisant le même score que le film précédent, mais avec un budget monté à 75 millions. Dès lors, le Xénomorphe ne fonctionne plus seul. Dans les années 2000, il apparaît à l'écran dans des spin-off aux côtés de son ennemi le Predator, et rapporte à nouveau ( Alien vs. Predator : 172 millions de recettes mondiales, pour 60 engagés). Mais la renaissance n'aura jamais vraiment lieu, la qualité n'étant pas au rendez-vous, Aliens vs. Predator - Requiem finissant même par s'enfoncer dans les abysses du nanar, tirant ses recettes avec lui (128 millions pour 40 de budget).

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Ma Critique :

Avant tout, on se pose beaucoup de questions avant même d'être arrivé dans la salle de cinéma : Est-ce un préquel d'Alien ? Un reboot ? Ou tout simplement une nouvelle œuvre originale reprenant les traits de la naissance d'Alien que Ridley Scott en personne avait autre fois réalisé ? Le seul moyen de pouvoir répondre à toutes ces questions était d'aller voir ce film !

Bon ne vous attendez pas à avoir toutes les réponses à vos questions, car en finalité on s'en pose encore plus à la fin mais on s'imagine assez bien ce qui peut se passer par la suite. L'histoire est également assez lente, mais en finalité on en sort ravi. Les acteurs sont tout simplement excellents et que dire des décors, du paysage et des effets spéciaux qui sont vraiment exceptionnels, c'est d'une beauté visuelle époustouflante. La bande sonore de Marc Streitenfeld était très bonne également, je ne sais pas si vous le saviez mais la bande-annonce de Prometheus reprend la même structure, le même montage, et la même bande sonore que la bande-annonce d'Alien, le huitième passager.

Prometheus marque le grand retour de Ridley Scott au genre qui a fait sa renommée : la science-fiction. En effet, la dernière fois que le cinéaste a côtoyé l'anticipation, c'était avec le film culte Blade Runner, en 1982 ! Et on peut le dire ça lui réussit très bien, ce n'est pas le chef-d'oeuvre qu'on attendait et il n'arrive pas à détrôner nos Aliens mais il reste néanmoins un excellent film de science-fiction.

Parlons un peu de la 3D, elle n'est pas indispensable mais elle sert beaucoup à immerger le spectateur dans l'histoire et apporte une profondeur pratiquement similaire à Avatar.

Attention Spoiler : Petit clin d'oeil au film Sunshine A la fin de Prometheus quand celui qui va s'écraser contre le Derelict pour l'empécher de partir vers la terre, un des pilotes dit à l'asiatique : "N'oublie pas de mettre les écrans de protections cette fois". Pour ceux qui on pas compris, l'asiatique est l'acteur qui oublie de programmer le panneau solaire dans le film Sunshine, sacrée clin d'oeil ! :)

Attention Spoiler : Le Space Jockey, au début du film se suicide en s'injectant le liquide noir pour ainsi créer la vie. On saura plus tard que l'espèce de vers de terre se sont retournés contre leurs créateurs et on presque anéantis les Space Jockey dans leurs base. Dans le film, David, récupère un échantillon de ce liquide noir et le fais glisser dans un verre de champagne qu'il servira à Holloway. Holloway couchera alors avec Elisabeth Shaw qui finira par tomber enceinte d'une façon vraiment très rapide et quand elle verra que son copain est infecté et qu'elle porte en elle une créature issue de leurs rapport sexuel décide de retirer le "bébé" par chirurgie, le bébé grandira plus tard dans le film deviendra un facehugger géant (l'arraigné dans alien) et pondra alors un oeuf dans le corps du Space Jockey, le résultat, une sorte de créature hybrid sortira du corps du Space Jockey, le monstre ressemble à l'Alien avec une tête de requin et une double machoire qui fait vraiment penser à une reine Alien, mais ce monstre n'a pas de queue ni de corne sur le dos, il n'est donc pas l'Alien qu'on connait tous mais un ancêtre ou du moins le début de leurs évolution. En gros, l'alien est à la base, un fruit d'expérience de plusieurs espèces. Vraiment interessant comme idée...!

Pour conclure, Prometheus est un grand divertissement et un grand film de Ridley Scott, ce n'est pas le chef d'oeuvre annoncé mais ça laisse place à une trilogie qui pourrait devenir culte telle que Star Wars ! Pourquoi pas...  ;)

Vivement la suite !

Ma Note : /5

 

PROMETHEUS 2 - ALIEN PARADISE LOST

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News :

Alien 5 bloqué par Prometheus 2 :

Alors que Ridley Scott s’apprête à entrer en production pour sa suite à Prometheus, Neill Blomkamp annonce dans un tweet que la sienne, à Alien, la résurrection, doit céder sa place.

Les fans d’Alien doivent grincer des dents : alors que Neill Blommkamp a annoncé en début d’année que son prochain film serait le cinquième volet de la saga Alien, voilà que Fox l’oblige à laisser Ridley Scott passer en premier avec sa suite à Prometheus, le prequel d’Alien, intitulé Alien: Paradise Lost.

Le studio américain semble frileux à l’idée d’élaborer la suite et l’avant du film d’origine, déjà réalisé par Ridley Scott en 1979. Droit d’aînesse oblige : c’est donc au cinéaste le plus âgé que revient la priorité. Pire encore : puisque Ridley Scott a annoncé plusieurs suites à Prometheus, Alien 5 est probablement retenu pour un bon moment, comme le confirme le tweet de Neill Blomkamp, qui se résigne à se tourner vers d’autres projets.

« Alien est sur pause en attendant Prometheus 2. Du coup, je vais travailler sur d’autres choses… mon amour pour le xeno – et Lieutenant Ripley reste le même. »

Un coup dur pour le réalisateur de District 9 et du plus récent Chappie, qui avait même réussi à convaincre l’actrice Sigourney Weaver de reprendre son rôle d’Ellen Ripley !

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Alien Paradise Lost : la suite de Prometheus fera directement référence à Ripley :

Il y aura des connexions avec le personnage de Ripley dans la suite de Prometheus, rebaptisée "Alien : Paradise Lost". Révélation faite par Ridley Scott lui-même.

L'excitation monte d'un cran pour la suite de Prometheus. Même avant la sortie du fim Seul sur Mars, le réalisateur Ridley Scott lâchait déjà petit à petit des infos croustillantes sur Prometheus 2 dont on a a appris depuis peu de temps qu'elle s'appellerait finalement Alien : Paradise Lost.

On en apprend à présent (un peu) plus sur l'éventualité d'un retour du personnage de Ripley dans ce nouveau volet de la saga. Dans une interview à Empire, Scott a en effet révélé qu'"il y aurait des connexions avec le personnage de Ripley". Avant d'ajouter : "Mais je ne vous dirais pas lesquelles".

Toujours selon Ridley Scott dans le magazine Empire, "d'une certaine manière, c'est Prometheus 2. C'est exactement la même histoire. Mais ça a toujours été fait pour s'appeler Alien : Paradise Lost.(...) Cela va nous ramener vers le premier Alien". 

Des infos encore assez énigmatiques donc, mais laissant penser de plus en plus que les liens entre Alien et Prometheus seront plus forts dans cette suite.

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Prometheus 2 retitré Alien Paradise Lost : retour aux sources ou argument marketing ? :

Alien Paradise Lost. Le fait de remettre la licence Alien au cœur de la franchise Prometheus ne serait-il pas une façon d'annoncer aux fans un retour aux sources de la saga ?

Si Prometheus 2 est désormais titré : "Alien Paradis Lost", cela peut être interprété de plusieurs façons, que l'on peut tenter de détailler. Deux théories s'affrontent, nous laisserons au lecteur le choix de sa version préférée :

"Il s'agit d'un véritable retour aux sources de la saga" :

Si le film s'appelle désormais Alien: Paradise Lost, c'est parce qu'il va se rapprocher de l'intrigue générale de la saga Alien. Plus de références aux précédents films et une mythologie plus proche des créatures créées par Giger, c'est justement ce que l'on attendait du premier Prometheus.

Surtout, ce nouveau titre est intriguant, et laisse entendre un "paradis perdu", référence avouée de Ridley Scott au poème éponyme de John Milton, relatant la chute d'un homme. Ce paradis perdu de l'homme sera-t-il transposé aux monstres ?

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"C'est un choix purement marketing, la Fox essaye de faire disparaître le souvenir de Prometheus" :

Les chiffres sont là : Prometheus n'a pas rencontré le succès escompté, notamment aux Etats-Unis, où il totalise seulement 126 millions de dollars de recette, le plaçant en-dessous de la barre des 400 plus gros succès d'un film sur le sol américain.

Prometheus a aussi horripilé certains fans de la saga Alien, qui n'y ont vu que poudre aux yeux, intrigue maigrichonne et trahison du matériau original. Du reste, ce titre sème une certaine confusion dans la continuité de la saga : qui se souviendra que Alien : Paradise Lost est une "origin story" et pas un film Alien à regarder après Alien 4 ?

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Comment trancher ?

Que l'approche soit marketing ou scénaristique, la seule chose certaine c'est que Ridley Scott a annoncé deux voire trois films "Prometheus", dont le dernier sera un crossover avec la saga Alien. Le but reste le même, raconter le passé des créatures d'Alien, en assumant ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent- que la saga Prometheus est prequel à celle d'Alien.

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A vos coms !!! J'attends vos avis de toutes et de tous !!!

 

2 novembre 2015

La Saga EVIL DEAD

EVIL DEAD ( 1983 )

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Jaquette EVIL DEAD ( 1983 )

Réalisateur : Sam Raimi

Acteurs principaux :

Bruce Campbell dans le rôle de : Ash

Ellen Sandweiss dans le rôle de : Cheryl

Hal Delrich dans le rôle de : Scotty

Betsy Baker dans le rôle de : Linda

Sarah Yorkdans le rôle de : Shelly

Synopsis :

Cinq jeunes vacanciers s'installent dans une baraque au cœur d'une sinistre forêt. En descendant dans une cave lugubre, les deux garçons de la bande découvrent un vieux magnétophone qui, une fois remis en marche, émet une incantation magique. Laquelle réveille les forces du mal, déclenchant ainsi une horreur sans nom...

Ma Critique : 

Pour moi, ce film est un véritable film culte, Sam Raimi, le maître de l'horreur, à fait de ce film un vrai chef d'oeuvre de l'époque. Je n'ai pas choisis par hasard de commencer par ce film, c'est le premier film d'horreur que j'ai vu et je ne vous raconte pas le nombres de nuits où je n'ai pas dormi après ça... Mais ça c'était avant ^^ Aujourd'hui en revoyant ce film, je me régale, entre bains de sangs et humour noir on ne peut qu' être satisfait, bien sûr il faut aimer les films d'horreur ! A ne pas louper !

Ma Note : /5

 

EVIL DEAD 2

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Jaquette EVIL DEAD 2 ( 1987 )

 Réalisateur : Sam Raimi

Acteurs principaux :

Bruce Campbell dans le rôle de : Ash

Sarah berry dans le rôle de : Annie Knowby

Lou Hancock dans le rôle de : Henrietta Knowby

Dan Hicks dans le rôle de : Jake

Denise Bixler dans le rôle de : Linda

Et Sam Raimi dans le rôle du : Chevalier

Synopsis :

Deux jeunes amoureux se rendent dans la cabane du professeur Knowby, qui a mystérieusement disparu apres avoir eu en sa possession quelques pages du livre des morts : Le Necronomicon, redoutable grimoire disparu au XIVe siècle. 

Ma Critique : 

Ce deuxième chapitre ressemble beaucoup au premier, on reprend le même décors ( la cabane dans les bois ) et on ajoute une touche d'humour encore en plus : La scène où Ash poursuit sa main coupé est vraiment délirante ! Sam Raimi à encore une fois réussi à faire un chef-d'oeuvre avec cette suite d' Evil Dead et on ne reverra pas de si tôt des scènes aussi illogiques et drôles qui s'enchaînent comme dans ce film ! Génialissime !

Ma Note : /5

 

EVIL DEAD 3 : L'Armée des Ténèbres

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Jaquette EVIL DEAD 3 ( 1993 )

Réalisateur : Sam Raimi

Acteurs principaux :

Bruce Campbell dans le rôle de : Ash

Embeth Davidtz dans le rôle de : Sheila

Marcus Gilbert dans le rôle de : Lord Arthur

Ian Abercrombie dans le rôle de : Wiseman

Richard Grove dans le rôle de : Duke Henry the Red

Bridget Fonda dans le rôle de : Linda

Timothy Patrick Quill dans le rôle de : Blacksmith

Et Sam Raimi dans le rôle du : Chevalier

Synopsis :

Une tronçonneuse greffée au poignet, un fusil à canon scié dans l'autre main, Ash, le héros des Evil Dead, remonte le cours du temps jusqu'en 1300. Là, il lui faut mettre la main sur le Nécronomicon, grimoire à l'origine de ses malheurs. Sa quête se transforme vite en effarante croisade, qui le mène à affronter une armée de squelettes...

Ma Critique :

Sam Raimi revient en force avec ce troisième épisode tout simplement énorme. Après un premier épisode plus dans l’horreur, un second qui vire dans l’horreur décalé. Et la, on part dans l’humour hilarant et déjanté. On retrouve à nouveau le personnage d' Ash que l’on retrouve avec un énorme plaisir et vraiment c’est toujours aussi génial et amusant de le suivre dans ces mésaventures. Bruce Campbell qui est juste énorme dans ce rôle qui lui va à merveille. On retrouve notre génial Ash la ou on l’avait laissé (dans un drôle de pétrin). Car on l’avait laissé dans une autre époque, plus précisément au Moyen Age ou il avait était absorbé. Donc c’est vraiment énorme et délirant de voir un homme du 20 siècle coincé au Moyen Age. Et la va commencer tout le délire et la chasse au démon pour essayer de retrouver le livre pour qu’il puisse enfin rentrer chez lui. Donc voila, scénario vraiment excellent, qui colle parfaitement au délire et à l’univers qu’a instauré Sam Raimi.

Ma Note : /5

 

EVIL DEAD ( 2013 ) 

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Jaquette EVIL DEAD ( 2013 )

Réalisateur : Fede Alvarez

Acteurs principaux :

Jane Levy dans le rôle de : Mia

Shiloh Fernandez dans le rôle de : David

Lou Taylor Pucci dans le rôle de : Eric

Jessica Lucas dans le rôle de : Olivia

Elizabeth Blackmore dans le rôle de : Natalie

Jim McLarty dans le rôle de : Harold

Synopsis : 

Mia a déjà connu pas mal de galères dans sa vie, et elle est décidée à en finir une bonne fois pour toutes avec ses addictions. Pour réussir à se sevrer de tout, elle demande à son frère David, sa petite amie Natalie et deux amis d’enfance, Olivia et Eric, de l’accompagner dans la cabane familiale perdue au fond des bois. Dans la cabane isolée, les jeunes gens découvrent un étrange autel, et surtout un livre très ancien, dont Eric commet l’erreur de lire un passage à haute voix. Les plus épouvantables des forces vont se déchaîner sur eux…

Ma Critique :

Après une longue attente, on retrouve enfin le célèbre film d' EVIL DEAD avec sa fameuse cabane, c'est sûr de l'eau à couler sous les ponts depuis le premier film des années 80, mais j'ai retrouvé pratiquement le même univers ( la trappe, le Nécronomicon,...) et j'ai vraiment été agréablement surpris ! Fede Alvarez a largement respecté son maitre (Sam Raimi) et surtout la mytologie EVIL DEAD. L’intensité et la violence, pure et dure, qui ne cessera de s’emplifier tout au long du film, jusqu’à cette derniere scene, dont je me souviendrai tres longtemps. Terrible ! Comme pas mal de scenes, ou ce jeune realisateur n’a pas hesité a utiliser des plans et mouvements dingues pour donner un maximum de divertissements dans les scenes d’actions violentes. Pour résumer les effets spéciaux sont excellents, les acteurs jouent très bien leur rôles et le scénario et l'ambiance sont très bien retranscrits. Les nostalgiques de la trilogie seront peut-être un peu déçus mais moi personnellement j'ai adoré !!!

Ma Note : /5

Pour ceux qui n'ont pas encore vu le dernier EVIL DEAD, voici pour vous la Bande annonce :

EVIL DEAD - Bande-annonce VF

Et voici la nouvelle série de Sam Raimi :

ASH Vs EVIL DEAD ! La série tirée du film ! Enfin !!! -

Ash a passé les 30 dernières années, en évitant les terreurs de l'Evil Dead, lorsqu'un fléau mortel menace l'humanité, Ash se voit contraint d'affronter ses démons. Au sens propre comme au figuré. Une série à la hauteur des films cultes de Sam Raimi ?

http://croccine.canalblog.com

Il ne vous reste plus qu'à me laisser votre avis ! ;)

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1 novembre 2015

La Saga " Labyrinthe "

Le LABYRINTHE

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Réalisateur : Wes Ball

Acteurs principaux :

Dylan O'Brien dans le rôle de : Thomas

Kaya Scodelario dans le rôle de : Teresa

Aml Ameen dans le rôle de : Alby

Will Poulter dans le rôle de : Gally

Thomas Brodie-Sangster dans le rôle de : Newt

Ki Hong Lee dans le rôle de : Minho

Synopsis :

Thomas, un adolescent, se réveille amnésique dans un étrange endroit à ciel ouvert entouré de hauts murs, et où vivent cinquante autres garçons. Ce lieu mystérieux donne accès à un labyrinthe, dont les plans sont modifiés chaque nuit. Quiconque s'y est aventuré n'est jamais reparu, d'autant que des des créatures menaçantes y rôdent. Grâce à quelques bribes de mémoire qui lui reviennent à travers des rêves concernant une organisation secrète appelée W.C.K.D., et à des indices trouvés au sein du labyrinthe, Thomas va tenter de trouver un moyen de s'échapper, avec l'aide de la bande des garçons...

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Anecdotes :

Une dystopie de plus :

Le Labyrinthe est adapté d'un roman de science-fiction écrit par James Dashner publié en 2009. Tout comme les célèbres "Hunger Games et Divergente", le livre s'inscrit dans le genre dystopique, un registre très prisé par Hollywood, qui dépeint un univers fictif où toute chance de bonheur semble utopique, avec le plus souvent de jeunes personnages en guise de héros. Le Labyrinthe étant le premier volet d'un cycle littéraire intitulé "L'Epreuve", les épisodes suivants (La Terre Brûlée, Le Remède Mortel) seront également adaptés au cinéma.

Tournage :

C'est dans la Louisiane américaine que les équipes du film ont posé leurs caméras pour le tournage. Quant aux scènes où les protagonistes se trouvent dans les bois, elles ont été tournées dans une ferme de St. Francisville à côté de Bâton-Rouge. Les enregistrements ont duré trois mois, entre mai et juillet de l'année 2013.

 

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Encore plus haut ! :

Les murs immenses du labyrinthe font en réalité 4,80 mètres de haut, ni plus ni moins en raison des dimensions du studio où se trouvait le décor et pour laisser la place aux éclairages. C'est donc en postproduction que tout s'est joué avec l'équipe des effets visuels qui prolongea le mur de 30 mètres !

The Doors :

L'équipe artistique a eu du fil à retordre durant la construction des portes du Labyrinthe. Marc Fisichella confie à ce propos : "Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette installation a constitué un véritable défi car nous l’avons construite au milieu de nulle part et dans des conditions auxquelles nous n’étions pas habitués"Mesurant chacune 6 mètres de large sur 6 mètres de haut avec une ouverture de 6 mètres et, en bonus une mécanisation qui permettait l'ouverture comme la fermeture, les portes pesaient chacune plus de trois tonnes !

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Invités surprises :

Serpents venimeux, crotales et vipères cuivrées, insectes, moustiques, taons, etc. L'équipe du tournage comme les acteurs ont eu quelques difficultés avec nos amis les bêtes ! Pour éviter les morsures, un professionnel des reptiles a été appelé par la production et a dû les déplacer dans un autre lieu pour une durée de trois semaines.

En Stage de survie :

Les jeunes comédiens ont préparé leur rôle à la dure ! Wes Ball leur fit en effet vivre une expérience inoubliable, en les envoyant en stage de survie. Le producteur Wyck Godfrey commente : "Je pense que cette expérience a permis aux acteurs de forger des liens semblables à ceux qui unissent les personnages du livre". Un soir, alors qu'ils dormaient à la belle étoile, les futurs protagonistes du film furent surpris par un violent orage dont ils se souviendront...

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Ma Critique :

Une histoire très prenante du début jusqu'à la fin, avec son lot de mystère . On s'interroge tout le long du film pour savoir qui a enfermé ses jeunes dans ce labyrinthe et pour quelle raison ; nous ne sommes pas au bout de nos surprises grâce à quelques rebondissements et retournements de situations. L'idée du labyrinthe avec ses créatures cachées à l'intérieur est excellente, elle me fait penser au jeu de société LABYRINTHE ou encore au film CUBE. J'ai adoré ce film et j'ai profité de tous les détails et de toutes les actions tant les effets spéciaux sont d'une grande qualité. On a craint le déjà-vu, mais le film emprunte astucieusement à tous les avatars du genre : la série Lost (« Que sommes-nous venus faire dans cette galère et qui sont ces Autres qui nous guettent ? »), Hunger Games (« Un leader, il n'y a que ça de vrai contre l'adversité »), sans oublier les thrillers post-apocalyptiques. Chaque scène est un peu plus surprenante, plus haletante que prévu, sans parler de la fin, en forme de « à suivre » complètement ­assumée.

Film à voir et à revoir !

Ma Note : /5

Le Labyrinthe - Bande annonce finale [Officielle] VF HD

 

Le LABYRINTHE : La Terre brûlée

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Réalisateur : Wes Ball

Acteurs principaux :

Dylan O'Brien dans le rôle de : Thomas

Kaya Scodelario dans le rôle de : Teresa

Ki Hong Lee dans le rôle de : Minho

Thomas Brodie-Sangster dans le rôle de : Newt

Rosa Salazar dans le rôle de : Brenda

Giancarlo Esposito dans le rôle de : Jorge

Aidan Gillen dans le rôle de : Janson

Lili Taylor dans le rôle de : Mary Cooper

Nathalie Emmanuel dans le rôle de : Harriet

Katherine McNamara dans le rôle de : Sonya

Lora Martinez-Cunningham dans le rôle de : La mère de Thomas

Jenny Gabrielle dans le rôle de : "Queue de cheval"

Synopsis :
Dans ce second volet de la saga épique LE LABYRINTHE, Thomas et les autres Blocards vont devoir faire face à leur plus grand défi, rechercher des indices à propos de la mystérieuse et puissante organisation connue sous le nom de WICKED. Or le monde qu’ils découvrent à l’extérieur du Labyrinthe a été ravagé par l’Apocalypse. Leur périple les amène à la Terre Brûlée, un paysage de désolation rempli d'obstacles inimaginables. Plus de gouvernement, plus d'ordre… et des hordes de gens en proie à une folie meurtrière qui errent dans les villes en ruine. Les Blocards vont devoir unir leurs forces avec d'autres combattants pour pouvoir affronter WICKED et tenter de défier son immense pouvoir.

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Anecdotes :

Changement :

Le Labyrinthe : La Terre brûlée n'est pas une adaptation fidèle au roman. Wes Ball et le scénariste ont quand même gardé l'essence du livre, mais ont fait quelques modifications nécessaires pour les besoins du film. Certains éléments du deuxième et troisième livres ont été réorganisés pour déjà planter le décor du troisième film.

 

Le désert, un terrain physique :

Tourner dans le désert est un exercice physique et intense. Les acteurs ne pensaient pas courir autant et ils se sont très vite retrouvés essoufflés à force de monter et descendre les dunes de sable. Ils ont eu surtout l'impression de faire du sur place et que seuls leurs jambes bougeaient. Après leur entraînement pour Le Labyrinthe, ils ont eu un peu plus de ressources pour parcourir le désert de long en large. Dylan O'Brien avait quand même un petit avantage puisque c'est un très bon athlète et il court assez vite.

Une ville post-apocalyptique :

Le tournage du Labyrinthe : La Terre brûlée a eu lieu au Nouveau-Mexique, dans la ville d'Albuquerque plus précisément. Elle a d'ailleurs dû subir quelques changements pour ressembler à une ville post-apocalyptique : des tonnes de sable ont dû être versées pour que le désert soit le plus crédible possible. Les dunes ont été nettoyées entièrement afin d'être les plus lisses possible et pour leur donner un effet tourbillonnant, un hélicoptère en position stationnaire a été utilisé.

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Un décor remanié :

Dans le livre de James Dashner, les Blocards sont dans des souterrains lorsqu'ils tentent de fuir le WICKED. Pour les besoins du film, la production a tourné dans un centre-commercial abandonné et y a fait tomber les dalles du plafond, éclater les vitres et installé des filaments de plastique. Un décor qui correspond à la description du roman, mais des voitures usées et du sable ont été rajoutés pour donner à l'endroit un côté encore plus post-apocalyptique. Du côté du "manoir", il a fallu tout détruire et l'équipe du film a brûlé des canapés pour leur donner un air abîmé.

Le très montagneux Right Arm Camp :

Selon le producteur du film, Joe Hartwick Jr. le plus grand défi du tournage a été de trouver le lieu culminant, situé dans le très montagneux Right Arm Camp, car parmi toutes les montages se trouvant au Nouveau-Mexique, très peu sont accessibles pour une équipe de tournage. Les scènes ont donc été tournées dans le Diamond Tail Ranch, avec pour seul accès, un long trajet sur des routes cahoteuses.

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Un tournage difficile pour Kaya Scodelario :

Kaya Scodelario le dit elle-même, elle est fainéante et n'aime pas du tout faire de l'exercice. La partie du tournage dans le désert a donc été compliquée pour elle et l'actrice n'était pas réellement enthousiaste à l'idée de faire ces cascades. Kaya Scodelario a pu compter sur Dylan O'Brien et Ki Hong Lee pour l'encourager.

Kaya Scodelario dans le rôle de Teresa

Le troisième volet déjà en préparation :

En mars 2015, le scénariste T.S Nowlin a confirmé qu'il y aura un troisième volet intitulé Le Labyrinthe : Le Remède mortel toujours réalisé par Wes Ball. Le tournage débutera en février 2016 et le film est prévu pour le 17 février 2017 aux Etats-Unis. La date de sortie en France n'a pas encore été annoncée.

La Trilogie livresque de James Dashner

Voici le résumé du 3ème volet du livre intitulé Le Labyrinthe : Le Remède Mortel :

Thomas sait qu'on ne peut pas faire confiance au WICKED, mais ils disent que le temps des mensonges est terminé, qu'ils ont recueillies tout ce qu'ils pouvaient des essais et doivent maintenant compter sur les blocards, avec leur mémoire restaurée, pour les aider pour l'ultime mission. C'est aux blocards de compléter le plan pour le traitement de la Braise avec un test volontaire final. Ce que le WICKED ne sait pas c'est que quelque chose est arrivé que même les essais ou variables n'auraient pu prévoir. Thomas s'est souvenu de beaucoup plus qu'ils le pensaient. Et il sait qu'il ne peut pas croire un mot de ce que le WICKED dit. Le temps des mensonges est terminé. Mais la vérité est plus dangereuse que Thomas ne pouvait l'imaginer. Qui survivra au remède mortel ?

 Le WICKED a tout volé à Thomas : sa vie, sa mémoire et maintenant ses seuls amis. Mais l'épreuve touche à sa fin. Ne reste qu'un dernier test... Terrifiant. Cependant, Thomas a retrouvé assez de souvenirs pour ne plus faire confiance à l'Organisation. Il a triomphé du labyrinthe. Il a survécu sur la terre brûlée. Il fera tout pour sauver ses amis, même si la vérité risque de provoquer la fin de tout.

Ma Critique

Ayant été ravi du premier film, je suis allé voir ce nouvel opus avec beaucoup d'attentes, surtout que le budget de ce nouveau film a été estimé à 61 000 000 dollars, ce qui est presque deux fois plus que le premier volet qui avait coûté 34 000 000 dollars. Je n'ai pas lu la trilogie de James Dashner, je ne peux donc pas vous parler des points communs entre le livre et le film, mais je peux vous parler des différences entre le premier et ce second film, et ce que j'en retiens c'est que j'ai été très déçu, surtout que j'ai lu de très bonnes critiques avant d'aller le voir au cinéma... je n'ai pas compris, désolé pour ceux qui l'on apprécié, mais pour tout vous dire je l'ai trouvé beaucoup trop long, plusieurs scènes sont inutiles et il n'a plus rien à voir avec le premier film, même si vous allez me dire qu'il suit les livres...

Ensuite, j'ai trouvé les relations entre les personnages peu étoffées notamment car toutes les dix minutes, on se trouvait face à de nouveaux personnages, de quoi vite s'y perdre ! Petits exemples : le personnage de Brenda semble prendre une importance alors même qu'on a peu d'informations concrètes sur elle ou encore les groupes rencontrés dans le désert dont les représentants sont survolés psychologiquement. Dans le premier volet, on pouvait s'attacher aux personnages plus facilement.  Les acteurs sont toujours aussi bons mais les dialogues sont d'une faiblesse extrême. Le scénario est trop faible et on s'éloigne bien trop de l'atmosphère et de l'histoire de base: cette distance ne nous plonge pas "directement" dans l'histoire...

Attention SPOILER : Les Zombies, nommés "les Fondus" dont nous ne savons pas d'où ils viennent, comment sont-ils devenus des zombies: j'avoue les créatures sont très bien faites et la poursuite dans le centre commercial enseveli et dans les ruines de la ville réhausse le niveau, mais cela manque d'explications, j'avais l'impression qu'ils ont voulu copier "Je suis une Légende" et la série "THE 100" sur beaucoup de points : ils ont besoin du sang des immunes pour trouver un remède; la bande de "sauvages" tout comme dans la série "THE 100"...  De même,Teresa qui devient une traître et Thomas qui commence à s'attacher à une nouvelle fille, Brenda, est un aspect qui aurait ou être mieux traité: on s'en tient avec une vague explication de deux minutes en bout de film... D'ailleurs, personnellement j'aurais préféré que l'histoire entre Teresa et Thomas continue dans le bon sens.

Quelques incohérences m'ont également embêté, déjà on a perdu 2 - 3 survivants entre les deux épisodes : rappelons qu'ils étaient 9 à la fin du premier. Mais où sont ils passés ? M'enfin passons, j'espère seulement que pour le troisième film de la saga ils reviendront sur  l'idée du premier film et qu'ils réhausseront le niveau de ce deuxième film râté.

Ma Note : /5

LE LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE - Bande annonce (vf)

 

 Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Impatient ou non de voir le dernier volet de la saga ?

 

 

 

 

 

 

 

1 novembre 2015

SPECIAL HALLOWEEN : " L'ARTICLE DE LA TERREUR "

 Je vais vous présenter ma sélection de films d'horreurs qui s'avèrent être même gores à certains moments, vous ne pourrez plus dire que vous ne saurez plus quoi regarder le 31 Octobre au soir ;)

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Dans ma première partie , je vous donnerai ma selection de mes 15 meilleurs films d'horreur, puis par la suite je les détaillerai un à un.

Attention ouvrez bien vos yeux et tendez bien vos oreilles, votre cauchemar va commencer !!!

1/ A L'INTERIEUR

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2/ HOSTEL I et II

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 3/ I SPIT ON YOUR GRAVE 

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4/ SINISTER

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5/ DETOUR MORTEL du I au VI

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6/ THE DESCENT I et II 

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  7/ GROTESQUE 

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8/ JEEPERS CREEPERS I et II

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9/ SIMETIERRE I et II

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 10/ LA COLLINE A DES YEUX I et II

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 11/ EDEN LAKE

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12/ DEAD SNOW I et II

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 13/ THE HUMAN CENTIPEDE I et II 

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 14/ A SERBIAN FILM

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15/ THE MIST

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Voici le lien de l'article complet du film : 

The MIST -

Thomas Jane dans le rôle de : David Drayton Laurie Holden dans le rôle de : Amanda Dunfrey Marcia Gay Harden dans le rôle de : Mme Carmody André Braugher dans le rôle de : Brent Norton Toby Jones dans le rôle de : Ollie Alexa Davalos dans le rôle

http://croccine.canalblog.com

En Bonus 2 autres Films que j'adore : 

16/ MARTYRS 

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Voici le lien de l'article complet du film : 

MARTYRS -

France, début des années 70. Lucie, une petite fille de dix ans, disparue quelques mois plus tôt, est retrouvée errant sur la route. Son corps maltraité ne porte aucune trace d'agression sexuelle. Les raisons de son enlèvement restent mystérieuses. Traumatisée, mutique, elle est placée dans un hôpital où elle se lie d'amitié avec Anna, une fille de son âge.

http://croccine.canalblog.com


17/ EVIL DEAD

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 Voici le lien vers l'article complet sur la saga Evil Dead : 

La Saga EVIL DEAD -

Cinq jeunes vacanciers s'installent dans une baraque au cœur d'une sinistre forêt. En descendant dans une cave lugubre, les deux garçons de la bande découvrent un vieux magnétophone qui, une fois remis en marche, émet une incantation magique. Laquelle réveille les forces du mal, déclenchant ainsi une horreur sans nom...

http://croccine.canalblog.com

 

Et Vous ! Quel est votre film d'horreur préféré ??? ( ps : Non je vous rassure je ne suis pas le tueur psychopathe de Scream )

N'hésitez pas à donner votre avis sur ma liste !

Et n'hésitez pas à me parler de vos découvertes en matière de films d'horreur ! ;)

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29 octobre 2015

THE MIST - La série !

THE MIST - La série

La nouvelle de Stephen King adaptée par Frank Darabont en série

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Si la fin n’est pas fidèle à celle de la nouvelle Brume dont il est adapté, le film The Mist a marqué tous ceux qui l’ont vu. Un film réussi et superbement adapté grâce à la présence de Frank Darabont, fidèle ami de Stephen King et déjà à l’origine de deux des meilleures adaptations de King : La Ligne Verte et Les Évadés.

Autant dire que c’est un défi de taille que se lancer dans une adaptation en série, a priori sans la présence de Frank Darabont à en croire Deadline , mais avec la bénédiction de Stephen King.

Ce nouveau projet est entre les mains de Dimension, la société des frères Weinstein (The Mist, Inglorious Basterds, Halloween, Django Unchained… que du lourd), qui annoncent déjà une intrigue inédite et originale qui impliquera de nouveaux personnages.

On n’en sait pas plus pour le moment mais si nous pouvons vous donner un conseil : méfiez-vous du brouillard…

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The Mist raconte l’apparition d’une petite ville des Etats-Unis envahie par un épais brouillard, contraignant quelques habitants retranchés dans un supermarché à organiser leur survie. Dans la brume, d’étranges créatures massacrent quiconque tente de s’échapper.

Tout comme le film réalisé par Frank Darabont, cette série pourra donc exploiter le potentiel horrifique apporté par ces monstres venus d’ailleurs, tapis dans la brume, comme le thriller psychologique qui se déroule dans l’enceinte du supermarché, tandis qu’une microsociété dysfonctionnelle s’organise pour rester en vie.

Voici le lien vers l'article sur le film :

The MIST -

Thomas Jane dans le rôle de : David Drayton Laurie Holden dans le rôle de : Amanda Dunfrey Marcia Gay Harden dans le rôle de : Mme Carmody André Braugher dans le rôle de : Brent Norton Toby Jones dans le rôle de : Ollie Alexa Davalos dans le rôle

http://croccine.canalblog.com

Je ne sais pas vous mais moi j'ai très hâte de découvrir cette nouvelle série sur ce film de folie !

 

29 octobre 2015

The MIST

The MIST

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The MIST (1998)

Réalisateur : Frank Darabont

 Acteurs principaux :

Thomas Jane dans le rôle de : David Drayton

Laurie Holden dans le rôle de : Amanda Dunfrey

Marcia Gay Harden dans le rôle de : Mme Carmody

André Braugher dans le rôle de : Brent Norton

Toby Jones dans le rôle de : Ollie

Alexa Davalos dans le rôle de : Sally

William Sadler dans le rôle de : Jim Grondin

Jeffrey DeMunn dans le rôle de : Dan Miller

Mélissa Suzanne McBride dans le rôle de : Jeune Mère

Synopsis : 

Tandis qu'une brume étrange semble envelopper une petite ville du Maine, David Drayton et son jeune fils Billy se retrouvent pris au piège dans un supermarché, en compagnie d'autres habitants terrorisés. David ne tarde pas à s'apercevoir que le brouillard est peuplé d'inquiétantes créatures...
Leur seule chance à tous de s'en sortir consiste à s'unir. Mais est-ce possible quand on connaît la nature humaine ? Alors que certains cèdent à la panique, David se demande ce qui est le plus effrayant : les monstres qui rôdent dans la brume ou ses semblables réfugiés dans le supermarché ?

Ma Critique : 

Réalisé par Frank Darabont (La Ligne Verte, Les Évadés...), d'après une excellente nouvelle de Stephen King (Brumes) on est ici confronté à une brume mystérieuse qui envahit une petite ville du Maine. Les personnages se retrouvent coincés dans un supermarché et se rendent vite compte que la brume est hostile, cachant des monstres pas vraiment fréquentables. La survie s’organise tant bien que mal mais bientôt le spectateur se demande si le monstre est bien à l'extérieur ou s'’il est en train de s'immiscer dans la peur des personnages. On est ici face à une allégorie sur l'extrémisme religieux et la lâcheté des hommes face à une situation de terreur. Accroché vos ceintures, surtout vers la fin qui pour moi est unique, c'est du jamais vu dans aucun film et j'ai plus qu'adoré ! Les créatures et la bande-son sont elles aussi au top ! A voir !!!

Ma Note : /5

Je vous laisse quelques photos qui devraient vous plaire :

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Danger-The-Mist

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et voici la bande-annonce :

The Mist Bande Annonce

Alors vous n'avez toujours pas envie de le voir ??

Et pour les plus Fans, voici le lien vers la future série :

http://croccine.canalblog.com/archives/2015/10/29/32851723.html

9 février 2014

Frankenstein (1994) et les News sur le petit nouveau de 2014 : I, Frankenstein !

FRANKENSTEIN

Jaquette Frankenstein (1994)

Réalisateur : Kenneth Branagh

Acteurs principaux :

Robert de Niro dans le rôle de : La Créature

Kenneth Branagh dans le rôle de : Victor Frankenstein

Helena Bonham Carter dans le rôle de : Elizabeth

Tom Hulce dans le rôle de : Henry Clerval

Aidan Quinn dans le rôle de : Le capitaine Walton

Ian Holm dans le rôle de : Le baron Frankenstein

John Cleese dans le rôle de : Docteur Waldeman

Synopsis : 

1793. Victor Frankenstein est un jeune savant apparemment normal, mais il est persuadé que la science peut venir à bout de tout et même créer la vie. La folie savante qui l'agite intérieurement va le pousser à commettre l'acte sacrilège, celui qui défie Dieu : la création d'un être à partir de morceaux de cadavres. La Créature vit, effrayante et puissante. Réalisant la portée de son acte, Frankenstein veut s'en débarrasser mais il est trop tard : la Créature s'enfuit….

Création de la créature !

Anecdotes : 

Le tournage s'est déroulé d'octobre 1993 à février 1994 en Angleterre et en Suisse.

- L'acteur Gérard Depardieu refusa le rôle de la créature.

- Le rôle du professeur Waldman était initialement prévu pour Sean Connery.

- Robert De Niro est également producteur associé sur le film.

- La musique est composée par Patrick Doyle, le compositeur fétiche de Kenneth Branagh.

La Naissance de la créature incarnée par Robert De Niro

Du roman au film :

Le Roman de Mary Shelley

Bien que cette adaptation soit considérée comme la plus fidèle au livre, il n'en reste pas moins bon nombre de liberté. Ainsi :

  • La mère de Frankenstein meurt des suites d'une maladie dans le livre alors que dans le film, elle meurt en accouchant de William.
  • Dans le livre, Henry Clerval est un ami d'enfance de Frankenstein. Dans le film, les deux hommes se rencontrent à l'université d'Ingolstadt.
  • Le professeur Waldman est un personnage secondaire dans le livre. Dans le film, c'est lui qui est à l'origine des travaux visant à rendre la vie, recherches auxquelles il a renoncé. Il devient par la suite le mentor de Frankenstein avant d'être victime d'un coup de couteau.
  • Dans le film, Frankenstein créé son monstre à partir du cerveau de Waldman, des morceaux de corps provenant de diverses personnes mortes et de la peau de l'assassin de Waldman. Dans le livre, la création est décrite de manière bien plus négligée.
  • Dans le livre, la créature mentionne sa vie avec la famille de paysans dans son histoire qu'il raconte à Frankenstein lors de leur « rendez-vous » dans les glaciers. Dans le film, cette séquence est adaptée sous forme d'action présente.
  • Dans le livre, Justine Moritz est jugée et reconnue coupable du meurtre de William. En attente de son exécution, celle-ci affirme à ses proches être prête à mourir. Dans le film, Justine ne passe pas en jugement et se retrouve pendue sur la place de la ville suite à la grande colère de la population.
  • Dans le livre, Henry meurt assassiné par le monstre à Londres et Frankenstein, accusé du meurtre, se retrouve en prison jusqu'à ce que son père vienne le chercher. Dans le film, Clerval reste en vie jusqu'à la fin de l'histoire.
  • Dans le livre, le monstre tue Elisabeth en l'étranglant peu avant que Frankenstein n'entre dans la chambre. Dans le film, Elisabeth se fait arracher le cœur et balancer hors du lit, sa tête heurtant au passage la lampe de chevet.
  • Dans le livre, Frankenstein, terrassé par la vengeance, décide de pourchasser sa créature jusqu'au Pôle Nord mais finit par perdre sa trace puis est recueilli par le capitaine Robert Walton. Dans le film, Frankenstein décide de redonner vie à Elisabeth en recousant la tête et les mains de celle-ci sur le corps de Justine. La créature voulant l'emmener avec lui, le créateur tente de l'en empêcher. Elisabeth ne supportant pas la dispute, elle écrase une lampe à pétrole au-dessus de sa tête et met le feu à toute la maison.

Robert de Niro dans le rôle de : La Créature de Frankenstein

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La Deuxième Naissance d'Elisabeth (Helena Bonham Carter)

Ma Critique : 

Un très bon Frankenstein ! Ce film a un fort côté dramatique, ou la seule once de bonheur et de joie est vite transformée en horreur. De Niro et Kenneth Branagh sont surprenants. La créature interprétée par Robert De Niro fait à la foi peur mais elle peut être aussi très touchante et riche en émotion. Dans ce rôle De Niro joue mémorablement et est vraiment méconnaissable. Les autres acteurs sont tous aussi très bons : Helena Bonham Carter est excellente; mais, il y a surtout Kenneth Branagh qui encore une fois excelle devant et derrière la caméra. Il nous livre un jeu d’acteur s’en faille, il incarne ici un personnage très fort mais qui peut basculer en un rien de temps dans la la folie. La scène ou il créé la créature est excellente et pleine de folie, sans parler de la scène ou il fait revivre sa femme Elisabeth (Helena Bonham Carter) : Scène grandiose mais un peu glauque et dérangeante. La mise en scène est vraiment magnifique, l'ambiance du film et les musiques sont excellentes et enrichissent les moments chargés en émotion.

Pour conclure, ce merveilleux drame mélangeant fantastique et horreur est vraiment un agréable moment de cinéma à ne pas louper ! 

Ma Note : /5

Victor Frankenstein (Kenneth Branagh) et Elisabeth (Helena Bonham Carter)

Victor Frankenstein (Kenneth Branagh) et Elisabeth (Helena Bonham Carter)

 

I, FRANKENSTEIN

Affiche I, FRANKENSTEIN (2014)

Réalisateur : Stuart Beattie

Acteurs principaux :

Aaron Eckhart dans le rôle de : Adam

Miranda Otto dans le rôle de : Léonore

Bill Nighy dans le rôle de : Naberius

Yvonne Strahovski dans le rôle de : Terra

Jai Courtney dans le rôle de : Gideon

Caitlin Stasey dans le rôle de : Keziah

Socratis Otto dans le rôle de : Zuriel

Aden Young dans le rôle de : Dr.Frankenstein

Synopsis : 

Adam, la créature de Frankenstein, a survécu jusqu'à aujourd'hui, grâce à une anomalie génétique survenue lors de sa création. Son chemin l'a mené jusqu'à une métropole gothique et crépusculaire, où il se retrouve pris par une guerre séculaire sans merci entre deux clans d'immortels. Adam va être obligé de prendre parti et de s'engager dans un combat aux proportions épiques.

Aaron Eckhart dans le rôle de Adam, la créature de Frankenstein

Comic Con 2013 : des affiches-personnages pour "I, Frankenstein"

Le Bien. Le Mal. L'Immortel. Découvrez trois affiches-personnages du film d'épouvante I, Frankenstein, dévoilées à l'occasion du Comic-Con. Le long métrage, emmené par Aaron Eckhart et adapté de la bande-dessinée du même nom, sortira dans les salles françaises le 29 janvier 2014. Cette relecture du célèbre mythe suit le parcours d'Adam, la créature de Frankenstein, qui a survécu jusqu'à aujourd'hui grâce à une anomalie génétique survenue lors de sa création. Dans une métropole gothique et crépusculaire, il se retrouve au centre d'une guerre séculaire sans merci entre deux clans d'immortels.

Voici les trois affiches-personnages dévoilées à l'occasion du Comic-Con :

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Frankenstein_Immortel

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Aaron Eckhart est un monstre de guerre dans le trailer de I, Frankenstein 

De nos jours, le monstre de Frankenstein se retrouve au milieu d’une guerre entre deux clans de créatures surnaturelles, entre des démons et des gargouilles. Voilà en quelques mots le sujet de I, Frankenstein, qui ne promet rien d’autre qu’un bon mélange entre action et surnaturel, comme l’affirme avec fierté ce premier trailer ("par les producteurs d’Underworld" -I, Frankenstein rassemblant une bonne partie de l'équipe de la saga et est adapté d’un comics de Kevin Grevioux, scénariste du premier film de fight vampires VS loups-garous avec Kate Beckinsale).

En parlant d’Underworld, ce bon vieux Bill Nighy paye ses impôts en jouant de nouveau le boss d’un clan de démons, tandis qu’Aaron Eckhart, très loin du costard d'Harvey Dent dans The Dark Knight, interprète la créature de Frankenstein version super-héroïque, qui bastonne à tour de bras des monstres divers. Notons au milieu de cette débauche de Science-fiction en numérique qui évoque aussi bien les jeux vidéo que les films de Scott Stewart (Legion, Priest), les présences de Jai Courtney (Die Hard : Belle journée pour mourir), Miranda Otto et Yvonne Strahovski.

I, Frankenstein est réalisé par Stuart Beattie, auteur de Collateral, co-scénariste du premier Pirates des Caraïbes et réalisateur de Demain,quand la guerre a commencé (déjà avec Yvonne Strahovski), agréable version australienne de L'Aube rouge.

Aaron Eckhart est Frankenstein !

Anecdotes : 

Une adaptation d'un comic... à partir d'un roman :

Le film est une adaptation du roman graphique de Kevin Grevioux, dans lequel on retrouve une créature de Frankenstein dans une époque plus contemporaine. A noter que le comic est bien évidemment inspiré du roman culte de Mary Shelley, Frankenstein ou le Prométhée moderne

Couverture du Comic I'Frankenstein

Aaron attaque !

Etant donné que son personnage est constamment en danger, Aaron Eckhart a subi un entrainement intensif, pour les besoins du film : "Entre autres choses, je me suis initié au combat au bâton de type Kali. Mon personnage se bat avec deux bâtons d'1 mètre de long : c'est tout un art de savoir manier son bâton, sans pour autant blesser autrui ou se blesser soi-même."

Une intense documentation pour Yvonne Strahovski :

Yvonne Strahovski, qui incarne Terra Wessex, une scientifique fascinée par Adam, s'est énormément documentée sur la profession du personnage qu'elle incarne : "J'ai fait pas mal de recherches pour m'y préparer, et j'ai commencé par lire le roman de Mary Shelley, avant de me documenter sur l'électrophysiologie et la cardiologie et de rencontrer plusieurs médecins et scientifiques qui m'ont expliqué comment les signaux électriques se propagent à travers le corps humain."

Aaron Eckhart et Yvonne Strahovski

 

Ma Critique :

Bon film avec de très bons effets spéciaux mais je dois le dire : j'ai été très déçu de voir que la créature de Frankenstein a des allures bien trop humaines et que la vrai histoire de Frankenstein est très très loin de ce film !

Après les créatures sont bien faites ( surtout les Gargouilles, les démons le sont un peu moins, ils me font penser aux démons de Buffy contre les Vampires ou d'Angel ^^ ) et les acteurs jouent assez biens, Aaron Eckhart est assez classe dans son personnage d'Adam ( la créature de Frankenstein ) et Yvonne Strahovski est vraiment douée dans son rôle de Terra la scientifique.

Un bon film fantastique à voir mais reste loin derrière celui de Kenneth Branagh avec Robert De Niro ! 

Ma Note : ,5/5

I, FRANKENSTEIN - Bande-Annonce (VF)

Alors, à vos coms ! J'attends votre Avis !!!

 

 

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